~¤ L'Endroit... ( Comi' ) ¤~

[ Raaah la la !! ]

Un petit sourire amusé, Comi' compris qu'il devrait se contenter de ça.
Il souffla sur le toupet de Ewie, cherchant cette mèche rebelle qu'il aimait tant.
Puis soudain, brisant le silence un cris d'oiseau ce fit entendre.
Mais pas n'importe qu'elle oiseau...

Ewie leva les yeux pour suivre le mouvement du volatile qui vitn se poser entre eux deux.
Il l'ignora royalement et se dirigea vers Comi'.
La jument eut un grand sourire, prête à éclater de rire.

Comisario

Comi' le regarda se poser et fronça les sourcils.
Pourquoi venait il toujours vers lui.
Une fois pourtant il lui avait fait clairement comprendre qu'il ne voulait pas de lui.
Mais non il revenait toujours.
Comi' secoua la tête et ronfla bruyamment, tentant de le faire partir.

Sans se laisser démonter, l'oiseau sautilla jusqu'à l'étalon et vint se percher sur sa croupe.
" Sa " place.

" Il faut croire qu'il n'y avait pas que la grenouille qui soit tombée amoureuse... "

Ewie sourit de plus belle.

La grenouille ?
De quoi parlait t'elle ? [sérieux la jvoit pas ^^ ]
En le sentant monter sur sa croupe,
Comi' énerver se leva brusquement et se mit a tourner sur lui même.
Il allait bien finir par s'envoler l'animal !
Mais apparament non, il restait.
Comi' décocha une petite ruade.

( Eh ben t'a la mémoire bien courte !
Ewie avait demandé à Comi' si l'oiseau était son premier colocataire et il avait dit que non, il y avait eu aussi une grenouille qui était tombé follement amoureuse delui.
Ewie lui avait demandé si c'était récirpoqe, omi' avait répondu que non et Ewie pour finir avait demandé : et si j'étais une grenouille ? Comi a répondu : alors je n'hésiterais pas...
C'était à la foret je coris ! ^^ )

L'oiseau poussa un croassement indigné et alla se percher sur une branche au desus des chevaux, attedant l'heure de la revanche.
Ewie le suivit des yeux, l'air absent...

[ Ah viiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!! Me souvient maintenant ! mdddr ! ]

Satisfait,
Comi' souffla et fixa d'un oeil noir l'oiseau.
Puis il se tourna vers Ewie.
Elle semblait être ailleur.
Tranquillement, il se recoucha en bougonnant contre cet oiseau de malheur.

Ewie le regarda faire, les yeux rieurs.
Une fois l'étalon couché; l'oiseau " de malheur " descendit de son perchoir, selon lui, temporaire et atterit près de l'étalon.
De cet endroit il interpella l'interessé d'un cri courroucé.
La jument les regarda tout deux, un air exaspéré sur le visage...

Comi' sourit devant les yeux de Ewie.
Mais en entendant l'oiseau l'appeller Comi' arrêta rapidement de sourire.
Il se releva et se tourna vers lui.

Il bomba le poitrail, avança son encolure vers lui et poussa un long hénnissement rauque [ et terrifianttttt !^^ ].

Invité

Ewie
( ^^ )

L'oiseau plissa les paupières à ce " bruits ".
Il fit un pas en arrière et lorsque l'étalon eut finit, il poussa un bête : Crôa ?
Ewie roula sur le dos, un rire silencieux aux lèvres.

Plus qu'agacer Comi' se retourna et regarda Ewie qui riait doucement.
Il allait vers elle, ignorant ce stupide volatil.
Il mit ses deux antérieurs sur sa croupe et lui dit :

- Arrête Ewie ! C'est plus drôle maintenant. -

Mais malgré son air sérieux,
Comi' était amusé par l'attitude de Ewie.

Invité

Ewie

Ewie s'arrêta de rire un instant et jeta un regard éloquent à l'étalon.

Ah bon ! Je trouve pas...

La jument se releva dans un sourire se dégageant des antérieurs de Comi' et se retrouva à sa hauteur.
elle posa doucmenet ses naseaux sur ceux de l'étalon et souffla un air frais, comme d'habitude...

Comi' la laissa se lever en souriant.
Devant son regard il faillit presque lui tiré la langue.
Elle n'était pas possible parfois !

Il souffla a son tour,
Mais il souffla un air chaud et doux.
Il en oublia l'oiseau.

Invité

Ewie

Les yeux brillants, Ewie allongea l'encolure pour lui souffler doucement sur le toupet.
La jument redescendit en soufflant sur le chantfrein de l'étalon.

Ewie noya ses yeux dorés dans le flot sombre du regard de Comi'.
Elle rougit légèrement et esquissa 'lombre d'un sourire.

Comisario

Comi' la laissa faire en souriant discrétement.
Son souffle le faisait frémir sans cesse.
Comi' allongea l'encolure et souffla sur son dos.

Puis il redressa la tête et la regarda.
En la voyant rougir, son sourire s'agrandit lentement.
Il souffla sur ses joues comme pour la faire rougir encore plus.

Invité

Ewie secoua la tête comme pour l'effacer...
Son toupet s'ébouriffa et The mèche se montra timidement.
La jument le regardait toujours dans les yeux, incapable de s'en détacher.
L'oiseau poussa à noueau son cri si désagréable et se percha sur l'encolure d'Ewie.
Elle ne le remarqua même pas...

[ The mèche Razz

]

A la vue de The mèche,
Comi' eu un rire silencieux.
Il avança sa tête vers la mèche et la renifla [^^].
Puis il rebaissa son regard pour retrouver celui de Ewie.
Ces reflets bleutés, ces yeux dorés, sa roe d'un noir luisant...
Mais il sortit de ses pensées en entendant le cris de l'oiseau.
Pourtant, Comi' ne bougea pas.
Il restait comme figer, perdu dans l'immensité de ses yeux.

Invité

Une goutte d'eau tomba de nulle part pour dévaler le long du chantfrein de la jument.
Celle ci alla mourir silencieusement sur le sentier.
Le visage d'Ewie s'illumina d'un sourire aussi beau que la perle scintillante que Comi' reçut sur le front.
La pluie fut bientôt plus dense et on ne voyait plus rien à deux mètres.
L'oiseau était partis.
Les yeux des deux chevaux semblait lui d'une lueur chatoyante.
Ewie ne quitta pas son regard, à Lui...

Comi' regarda la goutte dévaler le chanfrein de Ewie.
Il sentit aussitôt une tomber sur lui.
Il frémit doucement, leur amie était la.
L'eau ruisselait abandannement de sa crinière,
Et bientôt la terre autour d'eu se transforma en "marécage".
Mais sa Comi' ne le vit pas,
Tout ce qu'il voyait c'était ses yeux doré,
Ses yeux brillant.
Comme une lumière éclairant la pénombre soudaine sur sentier.

Invité

Aujourd'hui, tout va mieux.
Sans doute parce que lui est près de moi.
Sans doute parce que l'autre est loin de moi.
Pourrais je vivre un jour heureuse ?
L'espoir semble briller timidement...

Briller comme cette flamme qui brule dans mes yeux, qui ne brulait plus depuis longtemps.
Ranimée par ton regard.
Tes yeux qui eux veulent tout dire...
Tes yeux qui savent finalement tout des miens.

Alors l'espoir brille bien plus...

[

Alors la, tu peut pas dire qu'il est magnifique celui la !!!]

Ici, tout a un prix.
Mais beaucoup l'oublis.
Même cette liberté,
Il faut la mérité.

Ce regard doré,
Ces reflets bleutés,
Elle a hériter de ça,
Mais surtout il ne faut pas qu'elle croit,
Que c'est ce qu'il y a de mieu en Elle.

Chaque jours qui passe,
Le passé s'efface,
Sa resteras toujours en nous,
Mais avec Elle sa sera plus doux.

On a tous ressentis sa un jour,
Non, je ne parle pas d'amour
Mais de ce sentiment,
Celui de l'isolement.

Avec elle j'ai appris,
Qu'il existe seulement dans notre esprit.

Elle aime tant rêver,
Et pourtant elle doit se réveiller
Elle doit rouvrit les yeux,
Redscendre des cieux.

Retourner parmis les siens,
Dans la misère du quotidien.
Mais a nous deux,
Le quotidien sera peut être plus heureux.

Moi je croit en cet espoir...

...Comme des reflets bleu sur un fond noir.

( Eh ben comparé à ce que tu viens d'écrire !!!
Je sais pas quoi répondre tellement c'est beau avec des rimes et tout !!!
En plus je suis en train de le lire avec une chanson qui fait pleurer... )

[ Bah au début ce texte je voulait que Comi' le chante mais la vu que je savait pas quoi répondre non plus a ton texte tellement c'était beau que j'ai modifier des trucs et que je l'ai mit la ! ]

Si tu y crois, j'y croirais.
Quand on sait le temps, quand on sait le mal, que ça demande pour oublier.
Quand on sait le vide, quand on vit ce manque en attendant de ne plus aimer.
Moi je préfererais rester, juste pour toi, puisqu'il n'y a finalement que toi qui puisse encore y croire.
Si tu y crois, j'y croirais...
Alors nous serons deux, et il n'y aura plus à se soucier de cet espoir, qui n'en sera plus un, juset une réalité.
J'éspère...

( Merci à Nolwenn Leroy pour les deux secondes phrases... )

[Lol !

]

Comi' ferma les yeux un bref instant.
Il les rouvrit et lui sourit franchement.
Il n'osait pas parler,
De peur de briser ce moment.
C'était comme ça avec Elle,
Toujours des moments silencieux et pourtant si beau.

Ce silence qui est le leur,
Ce langage qui est le leur.

Il frotta sa tête contre la sienne,
Plus le temps passait,
Moi il pouvait se passer d'elle.

[ J'y vais, je sais pas si je pourrait revenir aujourd'hui]

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