Un gusto di morte nella bocca [ PV Edelwyn ]

" J'ai compris que les années passe trop vite c'est inquiétant, une jour tu est au sommet le lendemain tu tombe. Que chaque les chevaux s'autodétruise pour des rêves impossible. J'ai vu l'écard entre la belle et la bete. J'ai compris tard que la gloire ne procure que la peine et que sa me fait mal de voir que ma vie n'a été que mensonge. J'avançais pas que cette vie n'était que trouble, que Maximus a mentit... "

x Dans le sentier sombre se découpa un silouhette blanche.
Autrefois elle marchait la tête haute, aujourd'hui elle baisse la tête.
Autrefois il aurait fierement parcourut se sentier morbide dédaignant celui qui aurait oser croiser sa route, aujourd'hui peut un porte celui qui croisera sa route il ne serait qu'une ombre de plus.
Une seul rencontre avait fait de sa vie qu'il pensait parfaite qu'un simple mensonge. Lui en voulait-il ? Non. Mais voir réduit a néant toute sa vie avait plutot un choque même si il ne lui avait pas montrer...

- Je prendrais tous se qui est a prendre...Les joies et les larmes -

x Sa voix s'était élevé comme une brise légere qui vous fait frisonné de peur. Cette voix si froide et si vide a présent. Il redressa la tête et ouvrit ses yeux brun doré. Dans ses yeux brillait une lueur de rage, une flamme de rencoeur. Qu'il ne pourrait jamais effacé. L'image éclatante de la jument passa dans sa tête. Il fit ronfler ses naseaux et accéléra le pas. Fixant le sentier aussi vide que lui. Il se fit que finalement il avait bien fait de choisir la mort car c'est tout se qu'il lui restait a faire, mourrir. Ici ou ailleur, aujourd'hui ou dans dix ans peut importe. Il s'arreta et leva la tête vers le ciel. D'épais arbres bloquait sa vu. Coupé du monde dans ce sentier sans vie, Aethen se sentit plus seul que jamais. Au moin dans son autre vie il était aimé et il n'était pas seul. Mais que vouloir ? Vivre heureux dans le mensonge ou vivre seul dans la vérité. Dans sa tête seul l'image de la jument blanche, cette éclat aveuglant lui donnait une petite force de rester debout les yeux ouvert. Maximu, c'était sa vie, son bonheur. Aujourd'hui un simple mensonge.
Autrefois il aurait dit
'Morirei con onore' ( je mourrais avec honneur )
Aujourd'hui les seuls mots qu'il lui restait n'était pas cela. Il mourrais mais sa philosophie avait changer...

" In questa vita, morirei senza pensarvi "
( Dans cette vie, je mourrais sans y penser )

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