Seul [ Libre ! ]

Invité

Last avançait, seul, entre les branches des arbres.
Son regard était toujours si mystérieux et noir.
Il cachait une rpofonde rancune...
Et savait que personne ne l'aimait, c'était comme sa, il y a des choses dans la vie où on n'y peut rien...
Il n'avait pas besoin de pitié, ni d'amour enfin c'est ce qu'il disais car de ne pas connaitre ce sentiment, l'horripilait et l'énervait au fond de lui-même.
La terre sous ses sabots était dur et il pouvait voir les insectes qui s'y propragait a une vitesse afollante.
Les branches cramoisi se frottait à sees muscle sailant et à son pelage doux.
Les rare rayons du soleil qui avait réussi à pénétrer dans la foret faisait resplandir sa crinière.

x L'amour, un sentiment qu'on croit magnifique. Qu'on croit qu'il faut le ressentir avant de mourire. Je les ressentit et tous se que j'ai ressentit c'est une tristesse si grande que pour la secondes fois de ma vie je suis détruit. Pour la seconde fois de ma vie mon coeur est déchire. La première fois ? Au c'est bien simple. J'était un poulain, petit et frele au pelage d'un blanc nacre éblouissant. Des yeux d'emeraud superbe. Deux parents d'un noir de jais qui me détestait comme jamais il n'avait détestait mes frères et soeurs. Frappé chaque jour, insulté et humilié. Mon coeur était briser je ne comprénait mon erreur avec eux. Je ne savais pas quoi faire pour qu'ils m'aiment. Pour qu'il me regarde comme un père et une mère. Je n'était que se sale petit poulain frele qu'il t'abassait un peu plus chaque minutes. Sans pitié seul se regard de profond dégouts et cette jubilance de me faire souffrir. De voir les larmes s'échapper de mes yeux d'emeraude. De faire le sang ruissellé sur mais robe blanche, sur mon visage. De voir le sang se meler a mais larmes. De me voir m'écrouler au sol en boule hurlant pour que tout cela s'arrete. Pour que la souffrance se stoppe enfin. Mais rien n'y faisait. Je me souviens encore de leurs rires si sadique et si cruel. Je me souviens encore de leurs sourires victorieux après m'avoir pousser de cette falaise, où je me suis casser le membre. Je suis resté des jours étendut sur le sol sans la moindre force pour me relever. La faim et la soif m'écrasait. Mais j'ai grandit. J'ai compris qu'il n'y avait rien a faire. Que je ne pouvais les forcé a m'aimer puisqu'il en était tout simplement incapable. J'ai grandit, de poulain frele je suis devenus un puissant étalon. Ma robe avait été souillé par leur sabots et portait de profonde cicatrice. Mais les larmes avait disparut pour laisser place a un regard si cruel et si froid qu'on ne reconnaissait plus se beau regard emeraude qui était appeuré. J'ai pris ma vengance, horriblement certe, mais je les prit. Je les est tuer. J'ai changer, je n'est plus jamais été se petit poulain frele et gentil.

La deuxième fois, c'était ici. Je suis arrivé plus puissant et plus cruelle que jamais. J'ai répendut mon venin et j'étais heureux. En tout cas autant qu'un étalon au passé aussi minable, qu'un étalon tueur puisse vivre heureux. Puis je les rencontré, Elle. Je suis redevenus se gentil étalon si adorable et spéciale. Elle ma fait rever. Jamais personne ne m'avait aimer ou du moin c'est ce que je croyais. Car mon amour n'était pas réciproque. Car Elle aimait déja. Mon coeur a été brisé, il les encore aujourd'hui car sa ne fais que quelques jours que pour la deuxième fois de ma vie minable mon coeur qui avait commencer a se rafistolé se briser. Et je sais que aujourd'hui plus jamais je n'aimerais je me l'interdis. Je redeviens cette assasin que j'étaits. Cet étalon froid et cruel. Au sourire térrifiant et sadique. Parce que je n'est pas envit de me voir autrement.

x Un étalon était apparut d'entre les arbres. Sa robe blanche nacré macculer de sang frai et de cicatrice dattant d'autre fois se détachait dans la pénombre de la foret. Ses yeux vert aussi glacial qu'autre fois se posait devant lui. Il se tenait droit marchant lentement. Ses sabots claquant sur le sol dur. Son encolure légerment arqué. Sa crinière tombant en cascade sur sa puissante encolure. Ses muscles bandé ornait sa robe en se contractant vivement par moment. Un sourire imperceptible se déssinait parfois sur ses lèvres blanches. Un sourire sadique et terrifiant. Il ébroua son encolure son toupet barrant son regard. Ymagyn ne ressentait plus rien. L'amour ? Qu'elle utilité appart souffrir ?