L . V . O . L . M
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Sangha
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MessageSujet: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:14

  • Nom : Copyright
    Âge : 5 ans
    Sexe : Etalon

    Caractère :

    Copyrigth est un étalon protecteur, mais ça ne vas pas jusqu'à l'excés. Il peut arriver qu'on se demande ce qu'il se passe dans sa tête, parce que ça lui arrive souvent de s'emporter. C'est un étalon intelligent, même si il n'a pas forcément l'air comme ça. Il réfléchis rarement avant de parler, et ce défaut, que certains peuvent trouver sympa, l'énerve au plus haut point. Il n'a pas vraiment confiance en lui, mais il n'ose pas le montrer, tout comme il n'aime pas montrer ses faiblesses, bien qu'il n'en fasse pas une obsetion. Il ne se laisse pas marcher sur les pieds le moins du monde. Il a son caractère, mais il est très affectifs, il est attentionné, gentil, il est comaptissant. Il est un peu possessif parfois, mais c'est quand même rare. Il est jaloux et ranqunier. Enfin, chacun ses défauts n'est-ce pas ?



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Dernière édition par Lucivol le Mar 30 Juin - 17:38, édité 2 fois
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Sangha
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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:15

Histoire :


PREMIERE PARTIE







Copyright est né près de la liberté ....


- Camille vi... -
Paniqué parce qu'il ne sais pas quoi faire, Baptiste appelle sa femme à l'aide.

Seulement Camille le coupe parce que elle aussi a besoin d'aide.

- Bat !!! C'est le moment ! -

Baptiste se lève aussitôt, lessant Miranda seule.
Il cours vers sa petite maison, et entre cmme un dingue, il monte les escaliers en trombers et arrive près de sa femme qui est allongée à terre.
Il la prend dans ses bras, et il se dépèche autant qu'il peut, de façon à ne pas trop faire buger Camille. Il la dépose dans sa vieille Catrelle, il tente de la démarrer, mais elle ne veut pas, puis finalement, après avoir émis quelques petits pets de mécontentements, la voiture démarre enfin.

Après cinq minutes, Baptiste se résigne à aller dans une petite auberge qu'il rencontre car il sait qu'il ne sera jamais à temps à l'endroit voulu.

Il laisse sa femme dans la petite Catrelle désormais garrée devant <<l'Auberge des Villageois.>>.
Il ouvre brusquement les portes de l'Auberges, à bout de souffle et paniqué.

- S'il vous plait, aidez-moi, ma femme est en train d'accoucher. -

L'homme interpelé par Baptiste, qui n'est autre que l'aubergiste, emmène directement Baptiste dans sa chambre. Il garde les portes grandes ouvertes.
Ainsi Baptiste et l'aubergiste reparte en courant vers la petite Catrelle. L'aubergiste aide l'homme à déposer sa femme sur le lit. L'épouse de l'homme est là, et s'approche de Camille. Ayant eu déjà 5 enfants, l'épouse calme et prend rapidement en main la situation.

L'aubergiste s'approche de la porte où s'agglutines sa clientèle, et après s'être excusé, il ferme la porte ....

... un quart d'heure plus tard, la porte s'ouvre, et on voit l'aubergiste et son épouse sortir de la pièce un sourir aux lèvres.

Les deux amants d'une soixantaine d'années se regarde, toujours aussi amoureux l'un de l'autre, se prenant la main, l'épouse nommée Annique déclare.

- Il s'appelle Antoine. -

La clientèle, sourir aux lèvres se voit proposée par l'aubergiste une tournée gratuite....


Baptiste et Camille, ces deux jeunes amoureux de vingt cinq et vingt deux ans, ont le regard fixé sur le petit bout de chou.

- Il a tes yeux. -
Dit Camille en fixant le nouveau né.

Sourir aux lèvres, Baptiste se baisse pour embrasser sa femme.
Il est fier d'être le papa d'un si jolie bébé.


L'aubergiste propose à ses nouveaux hôtes de dormir dans leur auberge cette nuit.

- Au fait, moi c'est Henri. -

L'aubergiste, nommé Henri est un homme qui mesure environ 1 m 75, les chevaux devenu gris avec l'âge et le temps. Le dos vouté certe, mais c'est un homme qui a de l'allure et même de la classe.
Sa femme dont on peut donner à peu près les mêmes caractéristiques porte un grain de beauté, surement aussi beau que lorsqu'elle avait vingt ans, au-dessus de la lèvre, à sa droite. Seulement, elle n'a pas le dos vouté, et elle est légerment plus petite, surement 1m70.



Le lendemain, après avoir pris le petit déjeuner, les deux amoureux repartent dans leur petite Catrelle, après avoir dit aurevoir aux aubergistes.

Arrivés dans leur petite maison, qui se situe dans le Montana, Baptiste installe sa femme et son fils dans leur lit.
Restant là à contempler son enfant têter, il caresse les cheveux de sa femme, qui veille attentivement sur Antoine.
Lorsqu'Antoine fini par s'endormir, il le dépose dans le berceau qui se trouve juste à côté du lit.

Bien que fatigué par les événements, Baptiste fait son habituel tour de la propriété. Eleveurs de vaches de pères en fils, il va voir si aucune de ses bêtes ne manque.
Il s'approche de la barrière en bois, et siffle fortement. Il entre dans l'enclos, qui est très vaste, environ 10 hectars, et attend que les vaches arrivent. Il leur distribu de la nourriture pour que lorsqu'il les appellera les prochaines fois, elle viennent.

Ensuite, après quelques caresses à ses bêtes favorites, il sort de l'enclos et s'approche de la grange dans laquelle il était la veille avant de prendre la route. C'est alors qu'il porte ses mains sur sa tête et cours à l'intèrieur de la grange.

- J'avais complètement oublié. -
S'écria-t-il de nouveau paniqué.

Il s'approche en courant du dernier box qu'il ouvre à la volée.

Il s'approcha tout d'abord de cette grande jument à l'allure fierre. Elle se tient debout, la tête bien droite, comme toujours, elle accueil l'homme avec des petites lèches. Cette jument nommée Miranda a été chouchouté, car elle est l'unique cheval de la maison. Etant donné que l'homme à besoin de monter un cheval pour pouvoir regroupé et surveiller ses vaches, et que si par malheur Miranda mourrait, Baptiste risquerait par conséquent des problèmes financiers, c'est pour cela qu'il a fait saillir sa jument.
Il alla ensuite vers un des coins du box, là où se trouvait une petite chose, fébrile certe, mais apperemment vivante. L'homme posa une oreille sur le flanc de l'animal et poussa un soupir de soulagement.
Il se releva ensuite et enlaça fortement sa jument.

- T'es maman toi aussi ma jolie. -

Il est tellement heureux qu'il n'y est pas eu de drame, caressant l'encolure de Miranda, il fit un larger sourir. Baptiste est un homme comblé et donc heureux.


Il 'approcha ensuite du poulain, et vérifia que tout allait bien, il regarda son nombril qu'il désinfecta immédiatement avec la trousse de soins qui était resté dans la box.
Le poulain est sain et sauf.
Le nouveau né est tout noir, et il a des petits rond autours des yeux blancs, comme des lunettes. Etant donné qu'il n'avait jamais vu ça, même si cela existe et il le sait, Baptiste voulu être original pour le nom et il l'appela alors.

- Copyright. -


Les jours et ceci tout l'année qui suivit, Copyright et Antoine passaient des heures et des heures ensembles. Même si il ne se comprenait pas vraiment au début, Copyright fut le premier ami d'Antoine, et Antoine le premier ami de Copyright.

Les années passèrent, et au bout de deux ans, le lien d'amitié était encore plus fort. Même si Antoine n'était qu'un bébé, peut-être que grandir aux côtés d'un cheval l'a fait "grandir" mentalement plus vite. Il parlait déjà, et avait 5 ans d'âge mental réellement.

Aujourd'hui c'est l'anniversaire de Antoine , il a 3 ans et donc Copyright aussi. Pour ces trois ans, Baptiste et Camille ont décidé d'aller voir son grand-père qui habite à quelques bornes de chez eux.
Copyright ne peut pas venir avec eux, mais Antoine comprend pourquoi vu que son père lui a expliqué. Après lui avoir fait un bisoux sur la ganache, il prend la voiture avec ses parents. Antoine lui fait de grands signent de la mains jusqu'à ce qu'ils ne le voit plus.

Dans la vieille Catrelle, Antoine s'est endormie depuis cinq minutes. Ca fait plus d'un quart d'heure qu'ils sont partis de la maison.

Le feu passe au vert, Baptiste appuie sur l'accélérateur, respectant les limitations de vitesses, il avance au milieu de la place. Deux routes se croisent pour former une croix, chaque route est à double sens. Lorsque le feu est vert sur la route à l'horizontal, le feu pour la verticale est rouge, et vis-versa.
La petite Catrelle avance et se trouve au milieu de cette croix, seulement, le vrombissement de la vieille voiture s'arrête soudainement.
Tout arrive si vite, Camille se trourne machinalement vers Antoine, et Baptiste vers Camille, il l'interroge du regard, mais elle ne le regarde pas. Il se demande ce qu'ils vont bien pouvoir faire, c'est dangereux. Mais ils n'ont pas le temps de réfléchir, un camion un peu trop pressé voit le feu des piétons passer au rouge, et il démarre en trombe. Il n'avait pas vu la petite catrelle rousse au milieu de la circulation. Baptiste lui le voit arriver à temps, mais il est trop tard, le camion percute la petite catrelle qui s'envole et retombe une dizaine de mêtres plus loins, la petite voiture roule et s'arrête après 2 minutes de roulades, elle s'arrête sur le dos de la voiture. La camion s'est arrêtéaprès avoir percuté la voiture. La circulation continu, les voitures ne s'arrêtent pas, certains ce percutent, d'autres par chance s'en tire.
Antoine a toujours les yeux fermés, Baptiste le prend dans ses bras et secous Camille.

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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:16



- Camille ! -
Pleure-t-il paniqué.

- Camille, réveille toi ! Camille s'il te plait, je t'en suppli réveille toi. -

Une vieille dame ayant vu le drame arriver devant ses yeux, a tout de suite demandée à quelqu'un d'appeler une ambulance.

- Camille, s'il te plait. Camille ne fait pas ça, tien bon Camille. Réveille toi, je t'en prie. -
Antoine dans les bras, Baptiste pose sa tête sur l'épaule de Camille, sa femme âgée de vingt cinq ans, il pleure toute les larmes de son corps. Il ne sait pas si elle est morte, il ne sait pas si un jour il pourra entendre à nouveau le son de sa voix, il ne sait pas si un jour il pourra replonger son regard dans le sien, un regard qu'il trouve si beau, un regard dont il est tombé amoureux il y a dix ans, un regard dont il a toujours été amoureux, dès le premier regard qu'il a posé dans le sien, il est tombé amoureux d'elle.

Elle avait quinze ans, lui dix huit, c'était presque l'amour impossible. Elle venait de New York, elle était dans le Montana juste pour ses vacances. La journée devait se passer comme toutes les autres journées lors des vacances scolaires. Il aurait du simplement lui faire visiter la ferme, puis la guider avec tous les autres touristes pour une ballade à cheval. Seulement, lorsqu'elle est descendu du car, lorsqu'il a posé ses yeux dans les siens, il espérait que la journée ne se termine pas. Il espérait que le jour ne se finirait que plus tard, voir même plus jamais. Il a trouvé cet instant trop court, lorsqu'elle est descendu du car, il aurait aimé qu'elle reste là sans rien faire, à simpelement le regardait comme elle venait de le faire, mais non, elle a rejoins son père, et lui a simplement adressé un sourir comme elle fait à tout le monde. Même si elle adressait se sourir à tout le monde, il en était déjà fou amoureux. Il n'osa pas lui parler pendant la visite de la ferme. Il n'osait pas même la regardait, et lorsqu'il le faisait, il se mettait à bafouiller.

- Ici c'est la garniterie ... heu..eu.e la..la g.r..an..ge pardon . -

Aussitôt il tournait la tête et sentait la honte monter en lui, quelque chose qu'il n'avait jamais connu car il se moquait du regard des autres, étant un garçon attentioné, mais naturel, et plutôt mignon d'ailleur, il avait les cheveux cours et bruns, il est plutôt grand, 1m89 et il n'est ni maigre ni gros, il est beau. C'est seulement au début de la ballade qu'il a commençait à lui parlait. Il a eu de la chance qu'elle aille le voir pour le prévenir qu'elle ne savait pas très bien monter.

- Ne t'en fais pas, si tu veut je monterais à tes côtés et je t'aiderais. -
Lui avait-il dit avec un large sourir timide.
Elle avait immédiatement aquiessait avec un de ses plus beaux sourirs. Il s'en souvient encore, et s'en souviendra toujours. Il devait montait Miranda, cette belle jument à l'allure fierre est si belle, qui est calme et douce, mais comme le cheval que elle devait monter était moins calme, il lui proposa immédiatement Miranda. Ce fut à ce moment là qu'elle commença à être charmée par ce beau garçon. Il l'aida à monter en la tenant par la hancher et aillant une main sous son pied. Il monta ensuite son cheval, et il lui expliqua comment faire avancer Miranda. Avec elle il n'y avait pas besoin de demander beaucoup de fois, elle adore les ballades et ce depuis toujours. Elle aurait du se trouver derrière avec les autres touristes, comme c'était le cas d'habitude, lui devant les clients qui suivent, mais ce jour là c'était différent. Elle avait vite pris le coup de main, et se débrouillait très bien à cheval. Il l'a félicita plusieur fois de sa manière de monter à cheval.
Il se souviens comme si c'était hier de se jour si particulier.

- Et comment tu t-appelles ? -
Lui demanda-t-il en essayant de ne pas bafouiller.

- Camille et toi ? -
Lui répondit-elle sourir au lèvres. Elle était plutôt contente qu'il s'intéresse à elle.

- Moi c'est Baptiste, tu es venue seule ? -

- Non, je suis venue avec mon père. -

- A...et tu as quel âge ? -

- J'ai quinze ans et toi ? -

- Dix huit -
Répondit-il un peu déçus.

- On a presque le même âge. Trois ans d'écarts c'est pas énorme. -
Ayant remarqué son petit air de chien battu lorsqu'elle lui avait dis son âge, elle avait voulu le conforter. Elle avait dit ça en basculant sa tête vers la gauche, et elle avait fait un large sourir, qui avait d'ailleur largement réconforté Baptiste.
La ballade se termina trop vite au goût de Baptiste et de Camille.
Il lui proposa de venir boire un verre avec elle pas très loin.
Camille bien qu'elle ne boivent pas d'alcool avait accepté. Elle savait qu'elle devrait y aller en douce vu que son père ne serait pas ravi qu'elle aille boir un coup avec un garçon, encore moins si il était majeur.
Il devait aller la chercher à 21heure au District Hotel, il était devant l'hôtel à 20h30. Il avait eu tellement peur d'arriver en retard. Elle sortie de l'hôtel à 21h23, il se souvient de l'heure exacte. Elle s'était excusée, en inventant qu'elle avait oubliée que sa montre n'était pas à l'heure, il l'avait cru sans hésité. Ils sont allés dans une petite auberge pour boire un coup parce que le bar était fermé.
Camille a bu un flamingo sans alcool, et lui a prit la même chose. Ils sont resté à parler pendant plus de deux heures. Camille ne pouvait pas rentrer à l'hôtel, parce qu'elle savait que sinon son père s'en rendrait compte encore plus rapidement et elle voulait surtout passer un peu plus de temps avec lui. De son côté, ça ne le dérangeais pas du tout de resté avec elle.
Lorsqu'ils eurent fini de parler, Baptiste se décida finalement à poser sa main sur la sienne, doucement, délicatement. Il posa un timide regard dans celui de Camille, avec un sourir béta. Camille était déjà sous le charme, et a trouvé ce regard tellement mignon qu'elle ne l'a jamais oubliée. Camille c'est alors approchée de lui, et à poser délicatement ses lèvres sur les siennes. Baptiste était aux anges. Ils s'embrassèrent pendant un long moment. Les clients autour d'eux trouvés cela mignon. Les deux jeunes amoureux prirent chacun une chambre. Après de longs aurevoir, Baptiste et Camille allèrent dans leur chambres respectives. Le soir même, elle décida d'appeler son père. Elle lui explique la situation, et comme prévu, son père piqua une crise, qu'elle comprie bien évidement. Son père étant un colérique parfois excessif, il lui dit qu'il vallait mieux qu'elle ne revienne pas sinon il ne savait pas ce qu'il ferait. Camille bien que d'un côté elle soit malheurese de s'être fachée avec son père, elle était bien heureuse de pouvoir passer plus de temps avec Baptiste. Après avoir racrochée, elle alla dans la chambre de Baptiste et lui expliqua tout en détaille.
Après l'avoir réconforté, baptiste pris Camille dans ses bras. Cette dernière oublia totalement son père, et embrassa longuement Baptiste dont elle était follement tomber amoureuse. Il l'accueillit dans ses bras calins ... et l'amour a fait le reste...


- Camille !!! Réveille toi je t'en pris, Camille ouvre les yeux, Camille répond moi ! -
Crit toujours Baptiste en pleure. Baptsite éfondré essaye toujours de réveille Camille, la secouant à nouveau de sa main libre.

- Camille !! -
Pleur-t-il encore plus fort.

Les ambulicers qui arrivent, ouvrent la portière qui est à l'envers, de la Catrelle.

- Monsieur tout va bien se passer. -
L'ambulancier qui venait de parler, prit Antoine dans ses bras, et le posa dans ceux de son collègue qui se trouvait derrière lui.


- Camille réveille toi, on doit y aller. Tout va bien se passer, tu va t'en sortir, mais je t'en prie réveille toi. -
Ses paroles deviennent de plus en plus incohérente, il essaye de se rassurer lui même. L'ambulancier lui demande de le laisse s'occuper de sa femme, mais il ne l'écoutes pas, il ne l'entends pas.

- Camille ! -

Un autre ambulancier à la voix rauque parviens à le faire sortir de la voiture.

Baptiste regard la rue, il regard devant lui, puis derrière lui, puis à sa droite, puis devant lui, puis derrière, puis devant, puis à gauche et encore derrière, se tournant en même temps que son regard. Les ambulanciers qui cours vers lui deviennent flous pour Baptiste, il ne les voient presque pas, il les distingues à peines.






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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:16


Il aperçois le camion un peu plus loin, le camion de la société << World Food Compagnie >>. Ce camion vert, sur lequel est dessiné des épis de blés et un jeune Africain à côté d'un New Yorkais. Les voitures arrêtés semblent former un tas informes aux yeux de Baptiste. Devant lui il distingue une masse blanche, la rue se dérobe, il se remémorre encore une fois se regard qu'elle lui avait lançée lorsqu'elle était descendue du car, lorsqu'elle l'avait regardée en ce début de journée, cette journée qui était passée trop vite à son goût, cette journée qui c'est terminée trop tôt, même si elle s'était terminée si bien.....c'est flou, pourquoi on me crit dessus se demande Baptiste. il aimerait que la voix se taise.

- Monsieur, Monsieur. -

Il aimerait entendre la douce voix de sa femme et les cris joyeux de son fils.
Baptiste se relève brusquement. Il regard à droite à gauche à la recherche de sa famille.

- Où est-ce qu'ils sont ? Où est mon fils ? Où est ma femme ? Ils sont où ? -

S'écrit-il paniqué ? L'homme à la voix rauque le maintient dans la lit qui roule.

- Restez assis monsieur. -
Lui ordonnet-il.
Mais Baptiste à trop peur, il panique de plus en plus.

- Laissez moi les voirs! Dites moi où il sont, laissez moi les voir ! -

Camille était restait dans la voiture, elle avait reçusun bout de verre dans la gorge. Elle n'a pas survécue à l'hémoragie que cela à causé.

-Laissez moi voir ma femme ! Je veut la voir, je veut voir mon fils, je veut les voirs ! -
S'écrit-il en bougeant de plus en plus. Les ambulanciers, même habitués à ce genre de situations s'efforçent vainement à ne pas être mal à l'aise, à ne pas avoir les larmes aux yeux pour cette homme qui vient de perdre sa femme.

L'ambulancier demande de l'aide à ses collègues pour pouvoir le maintenir.

- Monsieur restez calme. -
Exige l'ambulancier en vain. Baptiste est toujours aussi paniqué, il ne veut pas rester là sur ce lit, et puis d'ailleur où est-ce qu'ils l'emmène comme ça ?

- Où est-ce que vous m'emmenez ?! -

- On vous emmène voir un médecin, vous avez la jambe en sang monsieur. -
S'écria l'ambulancier à la voix rauque qui essayait sans vraiment y arriver, d'être doux et sympathique.

- Je vais très bien, où est ma femme ?! Où est mon fils ?! Où sont-ils ?! Où est ma famille ?! -
Il s'énerve de plus en plus, criant plus fort, tout le monde l'entend, tout le monde entend que sa voix est incertaine, qu'il a peur, très peur, qu'il est perdu. Tout le monde a pitié pour lui, tout le monde est content de ne pas être à sa place.

Une fois entrés dans une salle de chirurgie, Baptiste est maintenant sur le lit roulant, on lui enfonce une seringue dans la peau, puis dans la veine, au bout de quelques instants, il s'endort....lorsqu'il se réveille, Baptiste est calme, il a toujours aussi peur, mais il est à la deuxième étape. Il a peur, se mord les doigts, mais il est calme. Il se trouve dans une chambre où il est seul.
Il regarde autour de lui, et la panique monte de plus en plus. Elle n'est pas là, il n'est pas là non plus, mais où sont-ils ?
Il retire la couverture qui est par-dessus lui, il rapproche ses jambes de son corps et les sert fort contre lui. Il pose sa tête sur ses bras, cachant son visage, et dans des gémissement affreux, mais sourds, Baptiste pleure, il revoit en boucle les images du choc, il revoit en boucle le camion percuter la petite voiture, il revoit enfin le visage de sa femme, il revoit Camille qui se retourne vers Antoine, il revoit la camion arriver vers eux, il revoit la petite Catrelle s'arrêter soudain en plein millieux, il revoit le camion percuter la voiture. Tout se mélange, tout est en boucle. Baptiste, les yeux encore rouges s'approche de la porte, il est en chemise de chambre d'hôpital, il traverse les couloirs en questionnant les gens.

- Est-ce que vous avez vu une femme ou un enfant. -
Ses paroles sont à peine clairs, à peine réfléchis, la panique le fit se mélanger. Il ne sait pas quoi faire, il traverse les étages, il ouvre les portes des chambres. Deux ambulanciers, avertis par la sécurité qu'il se ballade dans les couloirs, arrivent vers lui. L'homme à la voix rauque lui ordonne des les suivre, mais Baptiste n'est plus calme maintenant. Il cours pour leur échapper, il monte les escaliers, ouvre les portes à la volé, il fouille, il chercher, il ne trouve pas. Il sort finalement dehors, poursuivi par les deux ambulanciers. Une fois dehors, Baptiste ressent à nouveau cet étrange sentiment, il ressent la terre qui s'échappe sous ses pieds....à son réveille, il voit son père en pleure derrière la vitre qui le sépare de lui. Sa mère est à ses côtés, elle lui sourri, les larmes aux yeux.
Il lui atrappe la main, et les yeux montrant parfaitement la panique qu'il ressent, il demande à sa mère.

- Maman, où est-ce qu'ils sont ? -

Sa mère baisse les yeux vers le sol et pose sa main sur sa bouche. Baptiste connait bien cet air grave, il l'avait déjà vu concernant son frère.
Baptiste en larme sert fort sa mère contre lui. Elle essaye de le réconforter, mais elle sait ce que sait que de perdre son enfin, elle sait que ce sera en vain.

Une semaine après la mort de ces deux être chers, et après être complètement guéri, Baptiste retourne chez lui. Il ne veut pas voir sa famille, il veut être seul. Habillé de noir, il vient de passer au cimetière où ont été enterrés Camille et Antoine il y a seulement trois jours.
Une fois chez lui, il mont dans sa chambre et y reste pendant des heures, des jours et des mois. Cela fait trois mois qu'il n'a parlés à personne. Pendant la majorité de ces trois longs mois, il était avec Copyright, ce poulain désormais grand, mais qu'il considèrera toujours comme un poulain, car il pense immédiatement à son fils. Aujourd'hui, alors que la tristesse est devenue trop lourde à porter, Baptiste ne veut pas laisser Copyright seul face à la mort qui l'attend si il ne le libère pas. Oui, Baptiste à pris la décision de donner à Copyright la liberté près de laquelle il est né.
Copyright a comprit qu'il ne reverrait jamais Antoine, qu'il ne reverrait jamais Camille, la belle et douce Camille. Miranda est morte il y a un mois. Copyright est dans le même état que Baptiste.
Baptiste sort Copyright de son box et lui met une selle et lui met un filet. Il entre dans l'enclos des vaches et prend de quoi survivre pendant un ou deux mois.
Copyright et Baptiste partent pendant un mois et demi, lorsqu'ils arrivent enfin à une barrière en bois, comme celle qu'il y a de l'autre côté de l'enclos, Copyright et Baptiste sont épuisés.

Baptiste enlève doucement la selle qui se trouve sur le cheval désormais à la robe grise et au joli museau rosé. Il lui retire aussi le filet, et il s'approche de la barrière. Il ouvre la barrière et indique à Copyright la sortie.

- Vas-y mon grand, tu l'as bien mérité, voici ta liberté, il est temps que tu y aille. -

Baptiste s'approche de Copyright, il l'enlance et le caresse comme Miranda lorsqu'il l'a retrouvée dans le box tout petit et tout mouillé, aux lunette blanches.

- Copyright, tu es né près de la liberté, mais tu va vivre libre.-

- Vas-y ! -
S'écrit-il.
Copyright comprend ce que veut dire Baptiste, il sait qu'il ne le dit pas méchemment, il sait que cela lui fait de la peine de se séparer de lui, mais il sait pourquoi, et cela rend Copyright triste. Il sait que lorsqu'il sera parti, Baptsite va retourner chez lui et va finir ça vie trop tôt.
Copyright se baisse et lèche affectueusement, comme si il était son père, la joue de l'homme qui l'a élevé.

Copyright prend le galop, il est beau, il a l'allure de sa mère, une allure qui le rend admirable.




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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:17


Copyright jette un dernier regard à Baptiste qui le regarde en le saluant, comme si il était humain. Copyright voit bien les larmes couler sur les joues de Baptiste, il voit et lit dans ses yeux que bientôt il en finira.
Il tourne la tête, il sait que plus jamais il ne le reverra, il sait qu'il doit être fort.
Mais ce qu'il sait surtout, c'est que ce qui va suivre risque d'être dur...




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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:17



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DEUXIEME PARTIE



Voici deux jours que Copyright galope parmis les herbes sèchent qui parcours le sol du Montana, voici deux jours qu'ils mangent les rares herbes vertes. Il a faim, il est perdu, il ne sait pas quoi faire.

Il ne peut parler à personne, il est seul. Copyright se rappelle lorsqu'il galopait au côtés de sa mère près des vaches qui le regardait attendries ou mécontentes lorsqu'il venait les embéter. Copyright s'amusait beaucoup à leur chatouiller les flancs, ils s'amusait à courir avec les veaux tout juste nés. Ces souvenirs sont de très bons souvenirs. Il se rappelle aussi de la première fois qu'il fut monté, c'était par Baptiste, ensuite Antoine est monté sur son dos tenu par son père pour qu'il ne tombe pas, il n'osait pas aller trop vite de peur de le faire tomber. Il se souvient aussi de tous ces moments qu'il a pass avec Antoine, comme quand ils ont dormis ensembles dans la grange, bien sur Baptiste et Camille le savaient et avait pris soin de faire le nécessaire pour que Antoine dorment en sécurité et confortablement, mais c'était quand même le rêve pour eux deux, ils étaient si heureux...seulement, il y a eu ce jour. Copyright s'en est remis, certe, mais quand il y repense, il a du mal à contenir ses larmes. Il se souvient de ce jour qui devait être un jour si heureux, mais qui est devenu un jour si triste. Il n'était peut-être pas là lors de l'accident, mais il sait très bien que quelque chose c'est passé ce jour là et qu'il ne l'a plus jamais revu.
Copyright galope, il a un galop régulier mais rapide. Il repense à Antoine, et c'est alors qu'il ferme les yeux, la pluie s'abat alors sur le sol brûlant du Montana. Copyright n'y pense pas, il ne pense qu'à une chose ... Antoine.

Une semaine est passée, Copyright mange à peu près à sa faim depuis qu'il pleut dans le Montana. L'herbe a poussée, les vallées sont redevenues vertes et belles, le sol n'est plus rouges et sec, mais verts et beau.

Aujourd'hui est un jour comme les autres, Copyright s'est réveillé il y a environ cinq minutes, il broute un peu, ça fait passé le temps. ca y est, il arrête, il va se coucher près d'un arbre qui est non loin de lui, un grand saule pleureure, surement est il là pour lui montrer qu'il n'est pas le seul triste et solitaire.
Copyright se sent de plus en plus seul, il a toujours été entouré de personnes ou d'autres animaux, il commence à se lasser de cette vie solitaire. Il n'est pas comme ça, il aime bien les autres, il aime bien être avec eux, il aime bien parler avec d'autres personnes, il aime bien échanger des regards, il aimait rester des heures à contempler quelque chose avec Antoine, même une simple coccinelle jaune, même une simple sauterelle ou même une araignée qui termine son déjeuner, il aimait tellement passer des moments avec Antoine, mais il sait que plus jamais il ne pourra vivre un de ces moments privilégiés.
Il est triste, seul...
Copyright

Il réouvre les yeux, il s'était endormi au pied de ce saule, les yeux encore brouillés par le sommeil, il apperçoit en face de lui une silouhette, au départ il ne réagis pas, mais c'est lorsqu'il se rend compte qu'il n'est plus seul qu'il se lève brusquement.
Mais qui est donc cette silouhette ? Qu'est-ce donc cette silouhette ?
Copyright se lève rapidement, aussi rapidement que lors d'une chute, il voit enfin clair. La silouhette fait environ sa taille, elle est plutôt fine, elle est belle, son regard est captivant, elle est blanche tacheté de noir et son museau à quelques rares taches brunes. Copyright souris à cette silouhette qui le fixe. Il aperçoit derrière cette fine silouhette trois autres formes. Une seconde moins fine que La première silouhette, et parsemée elle aussi de taches sur une robe blanche, mais uniquement des brunes cette fois-ci. Les deux autres semblent se chamailler, l'une des deux autres silouhette est alezane et a une grande liste sur le front, l'autre a des taches brunes et noires sur une robe blanche. Copyright voit désormais totalement clair, ce sont des êtres vivants, des chevaux, comme lui. Il n'avait jamais vu des chevaux avec des taches pareilles. La première silouhette souris, et toutes les autres se retournes vers moi. Pourquoi me fixent-elles ainsi ? Je me décide finalement à les saluer, même si je suis surpris.

- Bonjour. -

Je n'avait rien trouvé de mieux que de lancer un simple bonjour presque timide.

Ceux qui se chamaillaient me sourie, mais j'ai comme l'impression qu'il s'empèche de rire. La seconde silouhette ne fait rien, et la première s'approche un peu de moi.

- Bonjour. -
Me répond-elle.

Je suis surpris d'entendre une voix, ça fait si longtemps que je n'avais pas entendu autre chose que les gargouillements de mon ventre.

Je regarde les autres, tous se rapprochent, ils forment un demi cercle autour de moi. C'est assé impressionant, mais je n'y laisse rien paraître.

- Vous êtes ?... -

La première silouhette me répond.

- Oh, moi c'est Kina et vous ?. -

- Copyright. -

La seconde silouhette prend à son tour la parole, sa voix et grave, et légerment cassée.

- Rwel. Il y a Mastic et Snidder. -
Dit-il en désignant tout d'abord le cheval alezan puis le dernier. Il parle d'une voix sèche et presque froide, contrairement à la première silouhette, qui parle, elle, avec une voix douc et amicale. Les deux autres sourient bêtement.

Lorsque l'étalon s'arrête de parler, Kina le fusille du regard, ce qui ammène à mes lèvres un léger sourir, qui passe, et heuresement pour moi, invisible.
Puis la jument reprit la parole, curieuse apparemment.

- On va vers le sud, et toi ? -

- Si vous allez vers le sud, vous risquez de perdre votre liberté. -

Les quatre chevaux me regardent, je me demande ce qu'ils ont, en tout cas, ils sont surpris, ça c'est sur.

- Comment ça ?! -

La voix de la jument est plus sèche, c'est surement l'incompréhension.

- Oui, par là-bas il y a des humains. -

J'apprendrais plus tard que les chevaux sauvages connaissent les humains seulement par des rumeurs, qui disent en général que quiconque les approche et sûr de vivre enfermer dans le noir toute sa vie, je leur expliquerais plus tard aussi comment j'ai vécu chez eux, et cela les rassurera.

Kina s'approche encore un peu de moi, et je peut voir dans ses yeux la flamme légère de la peur.

- Tu n'as pas répondu à ma question. -

- Nul part, sauf vers le nord vu que j'en viens. -

Les chevaux s'écartent de moi, et se regroupent un peu plus loin. Ils se consultent durant peu de temps, et reviennent me voir. La première silouhette s'écarte la première du groupe, la tête fièrement porté, et devançant les autres qui la suivent l'air contrariés et mécontents. Elle arrive, déterminée.

- Ca te dérange un peu de compagnie ? -

J'entends un des deux qui se chamaillaient, sûrement celui qui s'appelle Mastic, murmurer à l'étalon qui n'est pas de nature très amicale:

- Je savais qu'on aurait pas du s'arrêter pour lui parler, défois Kina elle est un peu trop ... -

- La ferme !! -
Le coupa très indiscrètement Rwel. Le cheval alezan bougone et fusille du regard l'étalon à qui il vient de parler, tout en marchant vers Snidder. Ce qui fait d'ailleur apparaître un sourir au coin de mes lèvres, qui se dissipent dès que je me rend compte que la première silouhette attend une réponse.

- ... Pourquoi pas. -

J'évite de le faire, mais je meurs d'envie de sauter partout comme un petit poulain. Enfin de la compagnie et durable, parce que les araignées et les serpents d'ici son bien gentils, enfin façon de parler, mais je préfère être avec des chevaux quand même.


Les jours passent, et la compagnie n'est pas aussi agréable, ou enfin différente de celle que j'avais avant de rencontrer ces chevaux. Peut-être qu'elle m'atriste encore plus du fait qu'ils ne me parles même pas, il y a juste un bonjour qui passent quand ils ont besoin de me demander quelque chose, mais sans plus. Je ne sais pas pourquoi ils m'ont proposés de faire un bout de chemin avec moi, mais je sais qu'ils ont quelque chose derrière la tête, ça c'est sûr et certain. Ce que je sais c'est que je suit bêtement le groupe, sans me douter de là où on va, surement parce que je n'allais nulle part quand je ne les avait pas encore rencontrés. C'est sur que j'allait dans des directions aux hasard.


Hier on a marché, comme d'haitude. Et comme d'habitude, Rwel et Mastic se sont disputés, la jument a calmé le conflit, et l'autre cheval les regardaient d'un oeil désintéressé; et voila pour le moment palpitant de la journée. Et moi pendant ce temps là, je regarde sans broncher, et sans rien faire à par marcher d'ailleur.
J'espère qu'aujourd'hui au moins il y aura un peu plus d'action, parce que même quand j'étais poulain et que je courrais avec ma mère, c'était plus palpitant que les jours que je passe avec ces chevaux.

Là ce que je fais ? Et bien pour tout dire, je marche sous un soleil de plomb, encore plus chaud aujourd'hui qu'hier j'ai l'impression. La pluie n'est pas tombée depuis un moment, et on commence à avoir faim, l'herbe se faisant rare, je ne mange pas beaucoup. La jument semble être, sans que les autres ne veuille l'avouer, celle qui prend toute les décisions. C'est elle qui est en tête, c'est elle qui choisi si on va aller à gauche ou à droite, enfin c'est elle qui décide de tout.
Pour faire passer le temps, je compte le nombre de pas que je fais avec l'antèrieur droit. Hier j'en ai fait ... beaucoup, je m'en souviens plus trop à vrai dire.
Maintenant on arrive près d'une petite marre, il y a trois entrées que l'on peut prendre, sinon on est entourés par de la pierre, enfin des falaises. On fait une petite pause pour boire, moi j'ai déjà bu, je suis juste allongé près d'une des sorties ou entrées, comme on préfère.
Tient, un petit cailloux vient de tomber sur mon épaule. Il vient d'où ? Surement d'au dessus.

Curieux, Copyright à levé la tête, seulement, il s'en rend compte un trop tard, et il est ensevelis sous de gros rohers...

On me racontera plus tard que les petits groupes de chevaux avaient faillis me laisser sous ces pierres, mais que finalement, ils m'en avaient dégagés, et m'avaient ensuite mis sur le dos de Rwel qui m'avait emmené vers une petite grotte. Et que j'étais resté inconcsient pendant plusieurs jours.

Copyright étendue sur le sol froid et humide de la grotte frissone, les chevaux se penchent alors un peu plus sur lui. Il se réveille enfin, le corps griffés et tailladé par la pierre semble enfin bouger.

J'ouvre les yeux, je me demande bien où je suis, je lève un peu les yeux du sol, et j'aperçois en face de moi des sabots. Nonchalant, je pose mon antèrieur face au sol pour pouvoir me relever, mais je glisse. La force me manque mais, et ce sera à mon plus grand étonnement lorsque je serais bien réveillé, Rwel prend la relève et m'aide à me lever. Je tiens à peine sur mes pattes, aidé par Rwel, et maintenant Snidder. L'encolure basse, le museau touchant presque le sol, je ne me rend pas encore compte de la situation. Mes membres flanches, je sent encore une fois le sol se dérober sous mes pattes...je me réveille à nouveau, peu après être tombé au sol. Je n'entends rien, pas un murmure se fait entendre. J'ouvre petit à petit les yeux, puis décidant de ne pas me lever immédiatement, je m'assois correctement. Je n'ai jamais été aussi fatigué dans toute ma vie. J'ai l'impression que je vais m'endormir à chaque instant, et que ma tête est aussi lourde que mon corps tout entier. J'entends des bruits de pas, des pas légers qui arrivent dans ma direction. J'ouvre les yeux brusquement, ne m'étant pas rendu compte que je les avaient fermés.

- Ca va ta tête ? -
Je lève les yeux vers mon interlocuteur, et je me rend compte que c'est une interlocutrice.

Les mots me manquent, je n'arrivent pas à répondre, j'ai mal à la gorge. J'ouvre la bouche, seulement je ne dis rien. Je dois avoir bonne mine là. Je me demand où il est passé le grand étalon à l'allure fier. Ok, je me suis pris une avalanche de pierre, mais quand même. Ca y est, maintenant j'ai toute ma tête, peut-être pas toutes mes jambes, mais au moins toute ma tête, c'est déjà ça non ?

Après que les chevaux m'aient successivement amenés de la nourrituer et essayez comme ils pouvaient de me faire boire, j'arrive maintenant à me tenir sur mes pattes. Oui bon, bon, ça va, avec l'aide du mur, mais je suis debout au moins.

Après quelques pas un peu hasardeux, j'arrive à me tenir debout sans l'aide de quoique ce soit. Je commence à m'étirer, mais je me rend compte que c'est une assée mauvaise idée, alors j'arrête immédiatement avant de me retrouver une nouvelle fois au sol.

La jument repose la même question, une nouvelle fois. En signe de réponse, j'approuve avec u nsimple hochement de tête. Il fait un peu froid, mais je vais pas me plaindre juste pour ça, c'est pas mon genre de me plaindre en plus.


Les jours qui suivent, les chevaux m'obligent à rester dans la grotte, je crois que je vais dire quelque chose de bizarre mais je suis content que toutes ces pierres me soient tombées dessus, c'est vrai, depuis que je me suis réveillé, ils prêtent enfin attention à moi, ont discutent, et je me rend compte de plein de choses concernants les quatre chevaux.

Finalement, après une semaine resté au même endroit, on fini par reprendre la route, et c'est enfin sympa.
Je parle beaucoup avec Kina. Elle me raconte plein de choses, je croit que ça lui a manquée de parler à quelqu'un qui n'est pas de sa famille, ils sont frères et soeur elle m'a dit. Rwel est le plus vieux, Kina est la seconde, et Snidder et Mastic sont des jumaux, eninf des faux. ils déscendent apperemment d'une famille de nomade libres. Leur parents se sont rencontrés dans une grotte pendant une tempête qui a durée très longtemps, plus d'un mois à ce qu'il paraît, ça devait être affreux pour eux. Et il sont tombés amoureux et puis vous connaissez la suite, il y a eu Rwel, puis Kina, et enfin les deux plus petits. Finalement, leurs parents n'étant pas de nature très paternel ou maternel et aimant vivre seuls, et là Kina m'a précisée qu'ils étaient très gentils avec eux, et donc aimant vivre seuls, ils sont partis chacuns de leur côté quand les quatre chevaux étaient assés grands pour se dérbouiller seuls. ils ont décidés de vivre tous les quatre ensemle, et de jamais se séparer. E là Kina avait tourné la tête, un sourir au lèvres, mais je voyais bien qu'une larme coulait sur son autre joue. Une émotion de joie ? De tristesse ? Je sais pas, j'ai jamais été très doué pour deviner tout ça, on dit que c'est les juments qui sont douées pour ça. Mouais.






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Sangha
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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:18


La marche n'est pas trop rude aujourd'hui, le soleil est là, mais il ne tape pas, la rosée ne s'est pas encore évaporée, il fait bon, c'est tout.

Comme d'habitude, Mastic et Snidder sont entrain de galoper devant, ils galopent toujours un peu au début de la journée, et à la fin ils sont à la traine. Mais aujourd'hui ils reviennent plus vite que d'habitude, et c'est uniquement Mastic qui arrive au galop effrayé, il est complètement paniqué.


- Vite, c'est Snidder ! -


Il est complètement paniqué, il a l'air perdu, ça fait peur à voir. Surtout j'espère qu'il est pas mort.

Les trois chevaux suivent Mastic qui part déjà au grand galop, ils arrivent près de Snidder qui est pris au piège...ce piège infernal que tout chevaux libre redoute. La capture de ces êtres étranges qui vivent sur leur deux pattes. Trois d'entre eux le retiennent avec des cordes, les trois chevaux le fixent.


- Quoi ? -

- Tu les connais toi, aide le. -

- Il ne faut pas improviser, il faut avoir un plans avec eux. -


Copyright murmure quelques paroles aux trois autre chevaux, et il sort de leur planque pour aller à l'encontre de ces humains ...

Copyright henni, le voila près des deux pattes, il se cabre, fait son fière de façon à avoir l'allure noble et belle. Puis il se calme, il s'approche d'un humain, curieux. Les humains relâchent leur attention de Mastic. C'est le moment, Les trois chevaux débarquent, et frappent les humains retenants Mastic, puis ils s'enfuient tous les quatre. C'est maintenant à son tour de partir. Copyright recule et prend le galop, et les cordes qui sont envoyées dans sa directions s'échouent au sol sans même l'avoir touché. Copyright les rejoind rapidement au galop.



- Allé dépéchez-vous, il ne faut pas qu'ils nous ratrappent. -

Après 5 minutes de cours poursuite dans un labyrinthe de falaises, les deux pattes abandonnent et les laissent filer. Un peu plus loin, les cinq chevaux galopent encore. A enfin, ils se remettent au pas, essouflés, ils n'ont jamais galopés ainsi.

Ils s'arrêtent et soufflent. C'est alors que Mastic se met à rire.

Tout le monde le regarde personne ne comprend. Pourquoi il rigole comme ça ?

- Qu'est-ce qui te prend Mastic ?! -
Demande Copyright sèchement.


Peu à peu, il s'arrête de rire, se redresse et fixe Copyright dans les yeux.



- Ca fait bizarre de se rendre compte que tu fais parti de la famille maintenant. -

- Quoi ? -

- Ba oui, t'as pas remarqué que tout le monde te considère comme notre frère ? -

Copyright scrute le regard de chacun, ils lui sourient, tous un sourir en coin, presque timide. Comme un certain malaise c'était instalé.


- Alors les piplettes vous avez bientôt fini, on doit y aller maintenant ! -

Oui, tous sauf Rwel souriait, mais bon, on y est habitué.


Les jours passent, je parle avec les autres chevaux, enfin normal quoi. Mastic et Snidder, les faux jumeaux, sont adorables, mais un peu idiots. Kina est une jument protectrice et ferme, elle dirige le groupe très bien. Elle nous emmène on ne sait où. On pense qu'elle marche au hasard, mais elle ne veut pas l'admettre. Elle dit que elle sait où on va et que c'est une surprise, mais les autres m'ont avoués que ça fait plus de deux ans qu'elle leur répète la même chose... Ils ne la contredisent pas, parce que de tout manière, ça ne servirait à rien, elle est trop tétue pour l'avouer. Ca me fait rire toutes leurs histoire, mais en fin de compte, je me sent comme un étranger qui est venu s'incruster dans leur famille soudée, ce qui est vrai. Je me sent de trop, presque mal à l'aise. Ca me gène d'être "lintru" du groupe. Je suis comme le mouton noir, ou le vilain petit canard. Oui, plus comme le vilain petit canard, parce que même si ils me considèrent comme leur frère, je ne le suis pas réellement, et je crois qu'ils ne se rendent pas compte de ce que je ressent, et j'espère qu'ils ne s'en rendront jamais compte ou du moins le plus tard possible. Après tout, ça fait déjà quatre mois que j'arrive à leur cacher ces ressentiments.


Aujourd'hui j'ai décidé de passer la journée avec Rwel, enfin de rester près de lui. Je sais pas pourquoi, mais je le trouve mystèrieux. Et ça peut paraître stupide, mais j'ai bien envie de savoir ce qui ce cache derrière cette brute ... enfin j'exagère un peu, mais c'est l'impression qu'il donne quand on le voit et lui parle, et depuis maintenant 8 mois, j'ai prit le temps de le faire, et je l'ai eu le temps. Quand je pense que ça fait presque un an que ... je ne put m'en empécher, les larmes coulèrent le longs de mais joues, et tombèrent sur le sol sans bruit. Je tourne la tête, n'ayant pas envie d'entendre la moindre question à ce propos, mais je sais bien qu'un jour ou l'autre, ils me poseront toutes sortes de question à propos de mon passé.


Finalement j'ai abandoné ... j'avais pas envie de rester avec lui toute la journée, je remettrais ça à plus tard. Après tout, je sent que je vais passer un bon bout de temps avec eux. Franchement, il est bizarre celui-là. J'ai jamais réussi à le cerner. Il est pas méchant, mais toujours sur l'offensive ... il cache quelque chose, c'est sur. En plus il est bien plus vieux que les trois autres ... je me demande bien quel âge il peut avoir lui ... enfin ...
Je vais même y aller maintenant d'ailleur, comme ça j'en aurait le coeur net.

- Rwel ! Attend moi ! -

Mais c'est qu'il galope celui-là ! Il peut pas attendre un peu ?!
A ba enfin, il ralenti ... mouaif, pas beaucoup, mais c'est déjà ça.

- Je me demandais ... tu as quel âge ? -

J'aurais peut-être du réfléchir avant de lui poser la question direct ... va falloir que je trouve une excuse si il me demande pourquoi.

- Tu veut bien réfléchir avant de parler dèfois toi ?! -

- C'est bon faut se calmer le vieux là ! -

Oh non, j'aurais vraiment pas du dire ça ... Ahh !!! Mais c'est qu'il s'énerve là ....

- Tu va voir ce que tu va voir toi ! -

- Oh oh ... -


Mais c'est qu'il galope vite le vieux ... faut que j'arrête de dire ça, sinon je vais vraiment me faire tuer par cette bourique. Bon, on va essayer de réfléchir pour une fois ... parler ? Non je crois pas que ça va le faire.

Rwel est certe très énervé, mais il n'a pas l'intention de le tuer. Le fait est que les deux chevaux galopent à une vitesse fulgurante. L'un pour échapper à l'autre, l'autre pour attrapper l'un. Les autres chevaux les voyant passé à vive allure devant eux s'en amusent.

- C'est ça, riez ! -

N'empèche que je vais me faire massacrer moi.

Finalement, c'est l'unique jument qui se décide à y mettre un terme.

- C'est bon Rwel, tu le connais, faut pas lui en vouloir. -

Elle a vraiment une voix douce Kina, une voix qui glisse dans vos oreilles, si si, je vous assure, ça donne vraiment cette sensation. Une sensation délicate qui vous enivre, qui vous rend ivre. Mais bon, le résultat c'est que Rwel aquiesse et ne rajoute pas un mot, mais je sais ce qu'il pense. Il doit se dire que de tout façon je suis juste très con et qu'il faut pas en vouloir au con, faut juste les jarter ... de tout façon, je sais qu'un jour je vais devoir partir ... je ne suis pas de leur famille, c'est tout.

Ah ! Kina a trouvée un endroit où s'installer pour la nuit. Snidder et Mastic, les deux inséparables, qui trainnaient tout à l'heure, se mettent soudain à galoepr comme des petits fous pour s'étaler de tout leur long contre la paroie de la minuscule caverne. Je dis minuscule, mais ça sera bien suffisant pour une nuit.




Les jours passent et j'ai l'impression de me détacher du groupe. Je prend mes distances physiquement et moralement. Seulement, je n'ai aucune idée du pourquoi de la chose. C'est arrivé d'un coup, je me suis soudainement senti encore moins de leur famille qu'avant. Faut dire aussi qu'ils parlent beaucoup entre eux, me laissant seul. Quand je m'approche d'eux lorsqu'ils ont leur "Discussions", ils se taisent d'un coup, et me regardent d'u nair géné et font semblant qu'il ne s'est rien passé.

Aujourd'hui, je sais que je dois prendre une décision, ça ne peut plus durer comme ça. Ca fait désormais plus d'un an que je marche en compagnie de ce petit groupe. J'y ai passé des moments heureux, j'y suis plus ou moins intégré, mais malgré tout ça, je ne sais pas pourquoi, mais je me sens comme un étrangé. Je ne suis pas à l'aise.

Il pleut aujourd'hui, comme si le ciel prévoyait déjà quelque chose. Tout est sombre, je voit à peine mes sabots s'enfoncer dans la boue qui vient d'apparaître. Hier on marchait sur de la caillasse, et aujourd'hui, c'est de la boue. C'est étrange, je ne sais pas où nous sommes et de plus, on ne voit rien, donc ça risque pas d'être facile de décrire l'endroit où nous sommes.

Tout la journée, je pense à ce que je vais faire, à ce que je vais dire. Je ne veut même pas savoir ce qu'ils se disent, après tout, ça ne me regarde pas.

- On peut s'arrêter un peu ? -

- Oui, allé, on s'arrête -

Les deux refont des siemnes ... il faut que je prenne ma décision maintenant, c'est le moment, après on ne s'arrêtera plus normalement, et je ne pourrais pas leur parler de ma décision ... que je n'ai toujours pas pris d'ailleurs.

- Rwel. On fait une pause. -



Pendant que tout le monde s'allonge, je m'écarte, et je me pose plus loin, contre un rocher perdu au milieu de cette étendue de boue. J'entends derrière moi les chuchotements des chevaux. La pluie se mêle au goût salée qui coule dans ma bouche. Cela faisait longtemps que je n'avais pas pleuré ... cela fait deux ans ...

- Antoine ... -

... la tête contre le rocher, le bel étalon gris observe la ciel empli de nuages sombres, la pluie semble s'accentuer, les chevaux se sèrent les uns contre les autres, et Copyright ressent plus que jamais la solitude peser sur lui ... peut-être aurait-il mieux fait de mourrir sous la caillasse ...
Son ventre se noux, l'étalon se lève, il a fait son choix ...



Je m'approche des quatre chevaux ... ils sont serrés les uns contre les autres, endormis, et c'est là que je me rend bien compte que je prend la bonne décision, la situation illustre bien ma pensée ... il n'y a plus de place.
La tête basse, je n'ose pas les regarder, je sais que si je les regarde ne serait-ce qu'un instant, ce serait encore plus difficile. Ma décision est prise, et je me suis juré de ne pas aller à l'encontre de celle-ci.
Je relève la tête et je pose mon regard sur chacun d'eux. Je ne veut pas pleurer car je sais qu'il ne le faut pas. Je le savais, c'est encore plus difficile de partir, mais je sais aussi que je n'ai pas le droit de rester ici, je n'ai pas le droit d'être à un endroit alors que quelque part dans ce monde, un autre endroit m'appel.

Je me souviens qu'un grand cheval m'a dit: « N'oublie jamais que chaque chose à une raison que la raison elle-même ne doit pas oublier ... »


Le pas lourd, mais surtout le coeur, je me tourne une dernière fois vers Kina.

Je n'aurais finalement pas oser leur parler une dernière fois. Peut-être parce que j'ai encore un espoir que ça n'aurait pas été la dernière ...


elle aura été mon premier amour ... voila pourquoi je ne me sentais pas leur frère ...



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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyDim 24 Mai - 19:20

    Habitué au JDR : Oui
    Où as tu connu le Forum : Par un certain Ouragan d'un autre forum (The Ranch je crois); mais j'arrive toujours pas à mettre la main dessus xD
    Autres : //

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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyMer 27 Mai - 14:15

[ Hihi, relit bien ton caractère y à une petite faute je crois :casse: ]


Oulala, j'avoue que la tout de suite j'ai la flemme de lire l'histoire Shocked
Mais ça à l'air intéressant alors dès que j'ai le courage je le fais Razz


Et euuuh...
Je crois qu'Ouragan... C'est moi :casse:
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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyMer 27 Mai - 14:21

Waou ! J'ai enfin trouvée Ouragan xD
Tu sais que ça fait hyper longtemps que je me demandais qui c'était .
Une faute? Je vais voir tongue
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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyMer 27 Mai - 14:55

Je m'en suis rendue compte il y à quelques temps car j'avais retrouvée des liens d'ancien JDR ou j'étais inscrite Razz
Et là je me suis diis : FAUT J'LE DISE A LUCHI xD

Mais vu qu'on était plus sur LVLM... Razz
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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyMer 27 Mai - 18:34

^^ en effet, ca sent le copier/coller Luchi ! tongue
Pareil que Jolie, dès que j'ai un peu de temps tranquille, je m'attaque à l'histoire ! Wink
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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyMer 27 Mai - 19:39

Du copier/coller ? Et à quoi vous pouvez voir ça ? :1D:
L'histoire c'est toujours la même xD

En plus j'te l'avais déjà demandé, et tu m'avais dit non, vilaine . Evil or Very Mad tongue
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MessageSujet: Re: x Copyright [Etalon Admin]   x Copyright [Etalon  Admin] EmptyJeu 28 Mai - 16:51

Maiis euuuh.... Neutral
C'est pac'que j'men souvenais puuuuuuuus :casse:
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Mouais mouais, c'est ce qu'on dit. :po:
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